28 de juliol 2016

INTERDIRE LES PESTICIDES NÉONICOTINOÏDES


Une manipulation de grande envergure est en train de se mettre en place à Paris, Bruxelles, et ailleurs en Europe, aux dépens des abeilles et de la biodiversité...
...Une insulte pour tous les citoyens qui se battent depuis des années pour faire interdire les pesticides « tueurs d'abeilles » dans le monde !
Nous devons nous y opposer massivement avant qu'elle n'ait des conséquences dramatiques sur nos cultures et notre alimentation à l'avenir. Je vous demande de signer de toute urgence la pétition ci-jointe et de la faire circuler autour de vous autant que vous le pourrez.
Il n'y a pas un instant à perdre.
Après des années de lutte acharnée des citoyens et des apiculteurs, la France, après le gouvernement belge début juillet dernier (1), s'est officiellement décidée à interdire en 2020 les pesticides néonicotinoïdes extrêmement dangereux pour les abeilles (2).
Les associations ont crié victoire et baissé la garde. Pourtant...
Ce qui pourrait passer pour une grande victoire est en réalité un plan désastreux imposé par les multinationales agrochimiques comme Bayer, Syngenta, Dow Chemicals, DuPont et compagnie, qui mènent depuis des mois un lobbying effréné et extrêmement agressif pour arriver à ce résultat.
Leur Objectif : empêcher l'interdiction RÉELLE des pesticides tueurs-d'abeilles... Pour sécuriser les centaines de millions d'euros de profit annuel que ces produits rapportent aux grosses firmes qui les produisent... et s'assurer que l'agriculture européenne ne sortira pas de sitôt du tout chimique !
Le plan qu’ils sont en train de mettre en place, avec la complicité des autorités censées les contrôler, se résume en deux étapes :
Laisser les citoyens gagner du terrain sur l’interdiction des néonicotinoïdes actuels…
… et pendant ce temps, en catimini, obtenir la mise sur le marché de nouveaux néonicotinoïdes, camouflés sous d’autres classifications chimiques pour ne pas entrer dans le champ de l’interdiction !
Ça paraît invraisemblable, et pourtant c’est la stricte vérité : pendant que vous et moi et toutes les associations de protection de l’environnement luttions pour faire interdire les néonicotinoïdes, voici ce à quoi était occupée l’agrochimie à Bruxelles :
Eté 2015 : les lobbies agrochimiques obtiennent l’autorisation, dans des conditions douteuses, d’un premier néonicotinoïde nouvelle génération, le Sulfoxaflor. Son mode d'action et ses effets sur les insectes sont en tout point similaires aux néonicotinoïdes, mais l’agrochimie lui donne une autre classification chimique pour lui permettre de rester sous les radars. Le produit n’a même pas été testé sur les abeilles avant d’être autorisé, alors que la procédure européenne l’exige, et que les premières études menées alertent contre le risque pour les abeilles (3).
La supercherie passe comme une lettre à la poste :
en plein moratoire européen sur les néonicotinoïdes et au plus fort des mobilisations citoyennes, un nouveau tueur d’abeille vient d’être autorisé par Bruxelles sans que personne ne s’en rende compte !
Automne 2015 : Un nouveau néonicotinoïde caché, le Flupiradifurone, obtient l’agrément des autorités sanitaires et de la Commission européenne. Ici aussi, mode d'action et effets strictement similaires à ceux des néonics, mais classification chimique différente pour ne pas entrer dans le champ d’une interdiction potentielle qui était déjà en discussion en France et en Europe. Et ici aussi, procédure de validation plus que douteuse : alors que l’EFSA, l’autorité sanitaire européenne elle-même, met en garde contre un « risque élevé pour les abeilles » (4), le pesticide est quand même autorisé sans restriction !
Et ce n'est pas tout :
- Dans les mois ou peut-être même les semaines à venir : au moins deux nouvelles substances d'insecticides tueurs d'abeilles vont être présentées aux autorités sanitaires pour approbation : le Triflumezopurim et le Dicloromezotiaz. Leur mode d'action sur les insectes est extrêmement proche des néonicotinoïdes traditionnels, et leur toxicité forte sur les abeilles a été démontrée par les scientifiques (5).
Malgré cela, tout porte à croire que les autorités sanitaires et les institutions européennes seraient prêtes à autoriser leur mise sur le marché en procédure accélérée pour remplacer les néonicotinoïdes interdits.
Comment tout cela est-il encore possible ?!!
Après tous les rapports alarmants qui ont été publiés ces dernières années, sur les abeilles, la biodiversité, la santé et l'avenir de nos productions alimentaires...
Comment se fait-il que les responsables politiques et les autorités sanitaires laissent encore les lobbys dicter leur loi à tous les peuples, eux qui sont censés protéger nos intérêts et notre santé ?
Ce plan indigne concocté par les multinationales agrochimiques nous promet un désastre environnemental sans précédent !
Nous pouvons encore empêcher cela. MAIS IL FAUT AGIR VITE : après avoir reçu le feu vert des institutions européennes, les néonics cachés vont être autorisés dans chaque pays de l’Union Européenne, et il ne faudra que quelques mois pour qu’ils commencent à être déversés massivement dans les champs.
Là où nous pouvons encore les coincer, c’est juste avant qu’ils ne soient autorisés au niveau national : alors que les institutions européennes autorisent des « substances », les Etats membres, eux, ont la main sur l’autorisation des « produits » - les pesticides eux-mêmes, les préparations qui seront déversées sur les cultures.
En agissant massivement sur nos chefs d’Etat et de gouvernement, nous pouvons obtenir le blocage de ces produits, pays par pays !
C’est possible, en montant rapidement une puissante coalition de citoyens déterminés, prêts à se mobiliser auprès de leur gouvernement pour faire immédiatement barrage aux nouveaux tueurs d'abeilles cachés.
Aidez-nous à faire barrage, et exiger l'interdiction RÉELLE de tous les pesticides tueurs-d'abeilles ! Signez dès maintenant la pétition pour contrer les lobbys en cliquant ici !
Si nous ne faisons rien, voici ce qui va se passer dans les 2 prochaines années :
les néonicotinoïdes cachés et les nouveaux tueurs d'abeilles auront remplacé les néonicotinoïdes interdits et continueront à être utilisés sur les cultures, en enrobage de semences ou en pulvérisation, contaminant ainsi durablement les sols, les nappes phréatiques et les cours d'eau...
- les cultures de printemps et d'été - non traitées avec les neonicotinoïdes ancienne génération désormais interdits - seront infectées par les résidus de pesticides nouvelle génération, et empoisonneront les abeilles...
- la mortalité massive des abeilles ne déclinera pas, malgré la soi-disant "interdiction" des pesticides tueurs d'abeilles ;
- Syngenta, Bayer, Dow Chemicals DuPont et tous les laboratoires agrochimiques pourront à loisir clamer que leurs produits n'ont rien à voir avec la mortalité des abeilles, et qu'il n'y a pas de raison de sortir l'agriculture du tout chimique.
Et là, il ne nous restera plus que nos yeux pour pleurer…
Il faut tuer dans l'œuf ce plan diabolique, et exiger de nos dirigeants nationaux qu’ils bloquent l’autorisation de ces poisons dans chacun de nos pays !
Imaginez un peu : il a fallu 20 ans de massacre crescendo des abeilles, de messages de détresse des scientifiques et des apiculteurs, de mobilisations citoyennes par millions à travers l’Europe, pour obtenir enfin l’interdiction des néonicotinoïdes actuels…
… On ne va pas laisser l’agrochimie nous en remettre pour des années de massacre intensif avec des nouveaux pesticides tout aussi, et peut-être plus dangereux encore pour les abeilles que les précédents !
Partout en Europe, les populations d’abeilles déclinent de façon alarmante. Et au fur et à mesure qu’elles disparaissent, ce sont tous les espoirs pour une agriculture plus propre et pérenne, respectueuse de l’environnement dont elle dépend, qui s’amenuisent…
Il est temps de dire STOP à l’emprise des puissants lobbies agrochimiques sur l’agriculture en Europe !
A force de remobiliser les citoyens, notre première pétition contre les néonicotinoïdes a réuni plus d’1,2 million de signatures en deux ans : ce qui a donné un poids énorme à nos actions de contre-lobbying citoyen et nous a permis d'obtenir l’interdiction de ces poisons ancienne génération.
Pour couper court à ces nouvelles menaces pour les abeilles et l’avenir de notre alimentation, nous devons accélérer la cadence : aidez-nous à atteindre à nouveau 1 million de signatures en un mois !
Et deux millions le mois suivant – de quoi faire reculer n'importe quel chef de gouvernement européen !
Nous pourrons rapidement faire entendre aux autorités qu’un bloc uni et massif de citoyens refuse qu’on sacrifie impunément les abeilles, et la santé et l’alimentation de toute la population, pour servir les intérêts court-termistes de quelques grosses multinationales agrochimiques bien placées !
Je vous demande de faire deux choses simples mais essentielles pour nous amener rapidement vers la victoire :
1/ Signez dès maintenant votre pétition en cliquant ici
2/ Transférez cet email à tout votre carnet d’adresses, et partagez la pétition le plus largement possible sur les réseaux sociaux que vous utilisez 
Ensemble, nous allons créer une véritable onde de choc à travers l’Europe, pour que nos représentants et les institutions européennes se rendent compte que nous ne sommes pas dupes et qu’ils ne puissent plus céder impunément aux désidératas de l’agrochimie…
Qu’ils s'opposent à la vente dans leur pays des nouveaux tueurs d'abeilles cachés autorisés par Bruxelles et que Bruxelles arrête d’autoriser de nouvelles molécules tueuses d'abeilles !
Et qu’à la place ils encouragent les initiatives agricoles qui sont de vraies alternatives à la chimie. Les recherches prouvent que, contrairement à ce que croient la plupart des gens encore aujourd'hui, les agricultures innovantes sans pesticides produisent autant en moyenne que l'agriculture chimique industrielle… 
…Mais qu'elles sont systématiquement plus rentables pour les fermiers qui les utilisent ! (8).
Mais pas pour les multinationales agrochimiques évidemment, et c'est pour ça que le bât blesse. Et que POLLINIS a besoin de vous de toute urgence.
Signez vite la pétition, et transmettez cet email à un maximum de personnes autour de vous.
D'avance, merci !
Nicolas Laarman
Délégué général

27 de juliol 2016

PRIMER CASO DE COMUNICACIÓN ENTRE HUMANOS Y ANIMALES SALVAJES



Una especie de pájaros se comunica con los miembros de una tribu africana para buscar miel


“En 1588, João dos Santos, un misionero portugués en Sofala (el actual Mozambique) veía cómo con frecuencia un pequeño pájaro se colaba volando a través de las grietas de los muros de su iglesia para picotear la cera de las velas que encontraba dentro. Este tipo de pájaro, escribió, tenía también la peculiar costumbre de dirigir a hombres hasta colmenas piando y volando de árbol en árbol. Después de que los hombres recogiesen la miel, los pájaros se comían la cera que quedaba”. Esta intuición, recogida hace casi cinco siglos, la cuentan en un trabajo científico que se publica hoy en la revista Science Claire Spottiswoode y varios colegas, que acaban de
comprobar que era certera.

Esta ave a la que se refería el misionero se llama indicador grande (su nombre científico es Indicator indicator) y el caso de cooperación entre humanos y animales salvajes que se relata es una rareza. Los pájaros aportan su capacidad para encontrar colmenas y los humanos utilizan el humo para espantar a las abejas, una amenaza para los indicadores, que pueden morir por sus picaduras. Tal como cuenta Spottiswoode, investigadora de la Universidad de Cambridge (Reino Unido), se trata de un caso excepcional de comunicación recíproca entre nuestra especie y los pájaros. 


Se han observado casos de cooperación entre delfines y pescadores para obtener más presas


Los yao, uno de los pueblos de Mozambique que se entienden con los indicadores para conseguir miel, utilizan un sonido específico que suena como una especie de “brrr-hm” cuando quieren que los pájaros les conduzcan a su objetivo. Esa llamada no se emplea en otros contextos. Los científicos pusieron a prueba el sonido comprobando si mejoraba las probabilidades de conseguir miel para los humanos frente a otro tipo de llamadas. Según explican en su artículo, cuando se emitió el sonido mencionado en expediciones para buscar miel, los indicadores colaboraron en un 66,7% de los casos, muy por encima de lo que sucedió cuando se emitieron sonidos animales, que lograron la cooperación en un 33,3%, o de otras llamadas humanas, con el 25%. Además, el resultado final era mucho mejor cuando la colaboración se lograba con la llamada específica. En un 81,3%, en una búsqueda que duraba alrededor de un cuarto de hora, llegaron a las colmenas, muy por encima de las veces que la comunicación comenzó con los otros sonidos. En total, el sonido de los buscamiel condujoal objetivo final en un 54,2% de los casos, lejos del 16,7% de las otras llamadas.

“Los resultados muestran que un animal salvaje asocia un significado y responde de manera adecuada a una señal humana de reclutamiento [...], un comportamiento asociado previamente a animales domésticos, como los perros”, concluyen los científicos. “La principal diferencia con los animales domésticos es que estos guías de la miel son animales salvajes que viven en libertad”, explica a Materia Spottiswoode. “Los animales domésticos han visto alterado su material genético por los humanos, que seleccionan los rasgos que les resultan útiles”, continúa. “Es cierto que algunas especies, como los halcones o los cormoranes, cooperan con los humanos sin haber sido modificadas genéticamente, pero sí que han sido específicamente entrenadas y forzadas. Los guías de la miel, por contra, son animales salvajes que cooperan con los humanos sin ningún control ni intervención por parte de la gente”, concluye.

El caso de los indicadores es realmente extraordinario y solo comparable a la relación que comparten algunos delfines con pescadores artesanales. Desde el año 70 después de Cristo, cuando Plinio el Viejo habló de este tipo de colaboración en la Galia Narbonense, en lo que es la costa mediterránea de Francia, se han recogido episodios similares. Sin embargo, la falta de un trabajo científico que lo compruebe impide asegurar que se trate de un sistema de comunicación especializado como el de aves y humanos en busca de miel.


El origen de la colaboración entre humanos y pájaros podría remontarse a los 'Homo erectus' de hace 1,9 millones de años

 Spottiswoode plantea que este tipo de comportamiento de las aves es, probablemente, innato, aunque refinado con la práctica. “Los indicadores, como los cucos, ponen sus huevos en los nidos de otros pájaros para aprovecharse de ellos y que les cuiden a sus crías, así que los jóvenes no tienen oportunidad de aprender ese comportamiento de sus propios padres”, opina la investigadora. Aunque es difícil calcular el tiempo necesario para la aparición y el desarrollo de esta sociedad entre humanos y aves, la relación podría remontarse a los primeros grupos humanos capaces de dominar el fuego necesario para espantar a las abejas. Richard Wrangham, antropólogo de la Universidad de Harvard, sugiere que esto pudo suceder ya con los Homo erectus, hace más de un millón de años.

Este entendimiento ancestral entre humanos y animales está desapareciendo en muchas partes de África y se conserva en lugares como la Reserva Nacional de Niassa, en Mozambique, donde la relación entre las personas y la vida salvaje aún es estrecha. Esta reserva, del tamaño de Dinamarca, se ve ahora amenazada y con ella uno de los pocos casos en los que los hombres se han beneficiado de trabajar junto a otros seres vivos sin someterlos. 

Informa: Mihail Pawlowsky

DANIEL MEDIAVILLA - el País 

26 de juliol 2016

KEEP SUMMER BEE COOL

When it’s hot in summertime a full size colony of bees will use a lot of water…a lot more than you think. At a minimum they’ll use a quart a day. Maximum, a gallon a day. For every colony you have. Think of how much that is for 10 colonies for a week of hot, hot weather. At the very least, that’s 10 quarts a day, for seven days…70 quarts…nearly 20 gallons of water, minimum if you allow for some of that water to evaporate naturally. When large colonies start collecting a gallon a day, you have 70 gallons you have to have available…that’s more than a 55 gallon honey drum plumb full in just a week. 

And they will get that water somewhere. The closer that water is the better, of course. The easier the better. The safer the better. You do supply all the water your bees need, right? If you’re lucky you have a nearby spring, river, lake or pond. Lakes and rivers are great if there’s not a lot of people traffic nearby, wading, fishing, or boating. But smaller bodies of water…puddles, creeks and ponds can be problematic during hot summers because they tend to go dry, right about the time the bees need them most. Keeping an ample supply of fresh water just for your bees is a no-brainer that we far too often overlook. So first, make that happen. How? Good question.

If you don’t have that pond, consider making one near your bees if possible. A small, continuously filled fish pond is ideal. Installing an automatic filler is necessary, and being able to disconnect it in the winter is also necessary, but it’s a good first choice. But, if that’s not in the cards…if you are on a roof for instance, a smaller version of this is possible, that is, a self-filling livestock watering device can work and is a good idea. They don’t go dry because a float valve turns on when the water level falls below a preset point and refills the water holder (just like the pond). Of course you have to have a dedicated water line to that device…and a flexible hose doesn’t work as well as a ridged pvc pipe, so there’s that hitch to get over, but it’s possible.

25 de juliol 2016

AYUDAS A LA APICULTURA EN GALÍCIA


La Xunta aportará el próximo año un total de 520.000 euros en ayudas para el fomento de la apicultura en Galicia. Este importe es un 16,6% superior al destinado en esta convocatoria de 2016, que fue de 445.896 euros, con un total de 13 beneficiarios, entre ellos las principales asociaciones del sector.
Entre las novedades que la próxima convocatoria  incluirá destaca la posibilidad de apoyar inversiones relacionadas con la lucha contra la avispa velutina. Esta finalidad se añadirá a las líneas de actuación que ya se vienen financiando, como son la asistencia técnica a los apicultores, la lucha contra la varroase y la racionalización de la trashumancia. Los beneficiarios de estas ayudas son titulares de explotaciones apícolas, cooperativas, organizaciones representativas y asociaciones de apicultores.
En este acto, desde el Departamento de Medio Rural se ha señalado que el apícola es un sector de futuro en Galicia, como se demuestra por la evolución del número de colmenas en el último año, que pasó de 113.844 en el 2015 a 140.794 en 2016, lo que representa un incremento superior al 23%.
Informa: Vida Apícola
Fuente y foto: Agronews Castilla y León

24 de juliol 2016

23 de juliol 2016

LA CERA DE LA WARRÉ


As mentioned in the social aspect, honey yield tends to be lower in Warré hives; several sources mention a yield around 8 litres of honey per hive. This number depends on many variables such as the number of bees, the availability of forage sources… As 1L of honey is about 1.4 Kg, the hive could produce an extra of around 11.2 Kg of honey that can be harvested. At a value of 3.746 dollars per pound, the potential revenue from honey sales for a Warre hive would be around 90 $. However, derivatives with value added can be sold from the wax produced by the bees such as wax candles and other artifacts.

U.Bee.C

22 de juliol 2016

BEE SEASON


Bee season depends largely on temperature and the seasonal patterns of flowers. After hibernating over the winter, bees awaken in time to collect pollen and nectar from their preferred plants; flowering plants also bloom in correspondence with the arrival of their most effective pollinators. Certain bee species are active pollinators during certain seasons, as native flowering plants and bees have established a relationship throughout their lengthy evolution. Some bees have no seasonal preferences and feed off a variety of flowering plants.
Three of the most commonly encountered bees by homeowners are honey bees, carpenter bees and bumble bees. These bees usually become active in the spring with the warm weather and flowering of plants. They remain active throughout the summer and into the fall. Cooling temperatures in the fall prompt them to prepare to overwinter. During the winter months their activity decreases to the point where they are not seen unless on a warm winter day.
Understanding bee seasons and the flower preferences of certain bee species could facilitate pollination and assist in both commercial and personal gardening.

21 de juliol 2016

20 de juliol 2016

FRAY DIEGO ZAIDIN



El frare aragonés de l'orde dels Carmelites Descalços, Fra Diego de Jesús y Maria (es deia Diego Zaidin), va escriure a Madrid, l'any 1653, un tractat dedicat íntegrament a l'apicultura i en castellà: Tratado breve de la cultivación de las colmenas y lo que con ellas se ha de acer para su conservación. 

El contingut d'aquesta obra era una còpia de tot allò que havia observat i escrit al llarg de quaranta anys, un altre frare eremita, germà d'orde, que li deien Francisco de la Cruz, nascut a Alhama d'Aragó (Saragossa), el qual estava al càrrec d'un abellar que els Carmelites tenien a l'erm de Volarque (actualment es diu Bolarque, Guadalajara). De l'original que va escriure Francisco, no se'n sap res.

El contingut era bastant pràctic i en ell parla de les tasques típiques que es fan a l'apicultura. El més curiós és que es tracta d'una obra pròpia d'un autodidacta, on no apareixen cites d'altres abellaires o escriptors sobre apicultura

Miguel Blanes
  

19 de juliol 2016

THE BEEKEEPER'S FIELD GUIDE

David Cramp BSc has been a bee keeper for twenty years. He spent a year at the Bee Research Unit at the University of Wales (Cardiff) where he gained a Postgraduate Diploma in Apiculture. He then kept bees in various remote parts of Spain, specialising in organic honey production, before moving to New Zealand in 2004 to manage a four-thousand hive pollination and manuka honey beekeeping operation. He has written extensively for the UK, US and Spanish bee press, as well as editing the on-line beekeeping magazine Apis UK. David is also the author of the bestselling and comprehensive A Practical Manual of Beekeeping.

This title includes:
• A troubleshooting guide to problems with colonies and queen bees
• A guide to the field diagnosis, treatment and control of diseases
• Seasonal apiary management checklists
• Hive product harvesting checklists
• The beekeeper’s ready reckoner

Nothern Bee Books

18 de juliol 2016

FLAVONOIDE

Els flavonoides són presents en el pròpoli de les abelles.

Els flavonoides són una varietat de compostos fenòlics sintetitzats per les plantes superiors durant el seu creixement i desenvolupament. Són productes de la ruta biosintètica de l'àcid fenilpropanoic. Intervenen en la formació de pigments, en la protecció enfront de la radiació UV i en la defensa durant la interacció planta-patogen. Possiblement modifica l'acció de diferents hormones vegetals (auxines i citoquines). Causen l'activació dels gens bacterians implicats en la formació de nòduls (Rhizobium) i en la transformació de plantes (Agrobacterium).

Les espècies que contenen flavonoides tenen accions farmacològiques molt variades.
  • Acció vitamina P
  • Antihemorràgics
  • Antiarrítmics
  • Proctectors de la paret vascular o capil·lar
  • Antiespasmòdics
  • Diürètics i antiurèmics
  • Antiinflamatoris
  • Antiradicals lliures i antihepatotòxics
  • Antibacterians, antivírics i antifúngics

Wikipèdia

17 de juliol 2016

16 de juliol 2016

BEE CELL


Bee Cell is the practical action center where total bee keeping solution is provided. It works under the management and supervision of Bee Values company that is supported by the bee experts and bee enthusiasts from various countries and registered and operating in Dubai.
The first Bee Cell is named as Bee Garden 
It is expected to be in Dubai where 200 nationalities live in unity.
Bee Cell is formed and operated by local entrepreneurs.
It is established on an agricultural land not less than 10 acres with water, road and electricity facilities for easy access from city.
We have 14 Bee Cell operations planned in India in the coming 5 years.
More Bee Cells will be developed in other countries with total guidance from Bee Values. We already have valuable inquiries from countries like Brazil, Egypt, Turkey, Tunisia, Morocco etc.
To know more on Bee Cell and its operation, please contact us:
Vazhakodan Govindan [vg@globalbeevillage.com] or Christian Vicente [cv@globalbeevillage.com]

15 de juliol 2016

THE ART OF COARSE BEEKEEPING

You must consider carefully before following the path of coarse beekeeping. Its disciples must have the same dedication and attention to fine detail as those who take up any other intricate hobby such as piano smashing.

The first steps of the coarse beekeeper are easy. Your local library will provide you with a copy of one of the many books written by an experienced beekeeper which will illustrate the equipment needed and describe in detail the life style of the honey bee. Many experienced beekeepers feel it is incumbent on them to write such a book.

Do remember to renew you possession of the book at the library before fines are imposed, that would never do.

The same library may be able to put you in touch with a local beekeeping association and give you details of their meetings. You should go to a meeting and introduce yourself as being keen to learn about the craft. At this stage a demonstration of enthusiasm works wonders. It might also get you a copy of a beekeeping equipment dealers catalogue. This will save you having to contact one since none, so far as I know, have 0800 telephone numbers. Although allowing yourself to enquire generally about membership and the possibility of free beekeeping classes your enthusiasm should not allow you to actually pay a subscription.

Reading the catalogue together with the beginner’s book will immediately convince you that your first pound of honey could be very expensive indeed. However the coarse beekeeper knows that no corner must be left uncut in the search for true perfection.

Your occasional attendance at a meeting, or the hoped for classes, will allow you time to gather up the minimum amount of such essential equipment that can’t be substituted by other items. A longish screwdriver and a paint scraper from your toolbox would replace a hive tool. A suitable length of net curtain worn over a broad brimmed hat and tucked well into a jacket could well replace safety equipment such as a veil. A more sophisticated version I have seen is an old fencing mask with further material sewn around it to prevent access by bees. A replacement for a smoker is more difficult unless of course you are a smoker yourself in which case a pipe filled with well rubbed War Horse or a small cigar will suit admirably and yes I have seen it done.

At association meetings always listen for mention of old Harry having passed away or old Jimmy packing up because of his bad back. Here are sources of cheap equipment. Not necessarily good equipment because old beekeepers are noted for putting up with much loved and familiar equipment long after it really should have been changed.

Getting bees is relatively simple. Set out a hive with some used comb in it and wait for a swarm to take up residence. Success largely depends on how far away you are from the nearest beekeeper and could take some time or even fail altogether. A more certain way is to inform local police offices and pest control of officers, both of whom are told of swarms having landed in a variety of odd spots, that you are prepared to collect a swarm within a given distance of your home. You should undoubtedly get you some bees that way. Do have a care to check before your journey that they are actually a swarm of bees and not an underground bumble bee nest.

We now look at the management of the bees. It is a fact that the less bees are disturbed by the beekeeper the better they are for it and the more honey you will be able to gather. Disease in bees has become an ever-increasing problem over recent years and must be addressed at all costs. Gone are the days when a coarse beekeeper need only take the roof off a hive twice a year. Once in the Spring to check that the bees flying in and out are actually living there and not robbing and to put some supers on and again in late summer to take off the honey supers. Unless disease is tackled there is little doubt that you will lose your bees. There is of course the short term option of requesting the seasonal bees officer visit you to check your bees. I say “short term” because success in any case depends on what you tell him and I fancy the man will soon whittle out the over-coarse beekeeper who is merely using him so learn quickly from him what you will need to do. The “term” gets very short if you try the old trick of “while you’re in there could you mark and or clip the queen for me, add or remove supers” etc?

Otherwise management is mainly concerned with swarm prevention, queen rearing and honey harvesting. Swarm control means far too many visits to and manipulations of the hive and the colony or fiddling about with multi gated boards to suit the true coarse beekeeper. If you allow the bees to swarm in their own time you can save all that work. This also has the effect that you may well be able to collect the resulting swarm from where it rests and put it into another of the late Harry’s hives. You will also get a new queen in your existing hive without the bother of all that troublesome queen rearing.

This leaves only the honey harvesting. Although it may be unusual advise for the coarse beekeeper a certain amount of time spent in the preparation will in the long run save both time and money. Buy unwired wax for your honey supers it is cheaper. Cut sheets length-wise into 4 equal strips and t one strip at the top of each frame. Only the most profligate beekeeper would use more. The bees will form their own cells along and below these strips. When it comes to harvesting the honey remove the frames, cut carefully along the joint where the bee made cells meet the provided foundation. Cut the oblong block of honey filled comb into sizes to the cut comb containers or old margarine tubs depending on the destination of the honey. Properly labelled cut comb containers can be sold. That in old margarine tubs can be used to pay any tradesmen prepared to barter his labour for your honey. They are out there, I have had roofs mended and cars repaired.

The coarse beekeeper’s preparation of the bees for winter is to go indoors and forget about them until spring. There is no need to mention mouse guards because unless the late Harry had them fitted to the hives when he died the coarse beekeeper is unlikely to own any.

Similarly wasted is the advice not to brush any snow off the hives because it helps to insulate the colony. It would never cross the coarse beekeepers mind to do such a thing.

And so the coarse beekeeper’s year ends. If the advise on the unavoidable disease control has been followed the bees should survive the winter. They have after all survived several million of them without the ministrations of “proper beekeepers”.


IAN COPINGER

14 de juliol 2016